Comme disait Monsieur Desproges...
"Je me heurte parfois à une telle incompréhension de la part de mes contemporains qu’un épouvantable doute m’étreint: suis-je bien de cette planète ? Et si oui, cela ne prouve-t-il pas qu’eux sont d’ailleurs ? "
Et oui comme lui bien souvent " j’aime mieux me faire chier tout seul que d’être heureux avec les autres " !
Pour ceux qui ont pu trouver ma première tentative d'écriture quelque peu misogyne, je rectifie de suite, elle n'est que misanthrope !!! Et oui, les femmes ne sont pas les seules à faire les frais de mon courroux, coucou !!!
En effet, j’abhorre l’inculte, j’exècre le premier degré, le culte de la forme (et je ne parle pas ici seulement de transpiration nauséabonde en collant fluo dans des salles bondées où la ménagère de moins de 50 ans essayes vainement de faire fondre la mauvaise graisse accumulée devant les feux de l’amour…), je disais donc la forme au détriment du fond me donne de l’urticaire, je pense qu’il faudrait fusiller sur le champ tous les hommes politiques et autres dirigeants d’entreprise qui jouent les mondains (et oui « People » a une traduction en français !!!), mais j’arrête là car la liste serait vraiment trop longue et je reviens à mes moutons.
Mes moutons… ??? Oui, les banquiers… Suivez un peu !!! Parce que pour ce qui est de la veulerie, de l’inculture et de la mesquinerie crasse ils se posent là ! Quand je suis arrivé la première fois je me suis demandé si je n’étais pas tombé dans une réserve… une sorte d’élevage ou l’on stockerait les plus beaux représentants de la sottise et de la mesquinerie humaine ! Quelques exemples ? Les chefs de services qui trouvent amusant de surnommer leurs collaborateurs, d’échanger des blagues de cul devant des petites stagiaires à peine pubères qui se demande ou elles sont tombées, et pour couronner le tout ils sont plutôt pleutres, ne jamais se confronter à ceux qui pourraient leur tenir tête en face à face, telle est la règle ! Pour ceux qui auraient encore foi en l’espèce humaine, qu’ils viennent faire un tour dans ces superbes sociétés que sont les banquassurances nouvelle génération… Si Zola était encore vivant il pourrait écrire la suite de Germinale dans une banque ou un centre d’appels, malheureusement pour lui, le tertiaire a anesthésié toute forme de mouvement social.
Ainsi je retrouvent mes moutons, et ils sont bien gardés !!! !